En 2012, j’ai mené un travail exploratoire sur la transmission de la mémoire de la Shoah à partir d’un fond d’archives privées. J’ai montré comment l’analyse de cette transmission pouvait constituer, en soi, un matériau pour l’historien. Présentée lors des journées d’étude Changer d’échelle pour renouveler l’histoire de la Shoah en décembre 2001, cette étude a été publiée l’année suivante

La mémoire d’une famille juive après la Shoah », Le Genre humain, vol. 52, no. 1, 2012, pp. 61-70.